Les Associés
Éditorial

Une entreprise marque son territoire et son marché par sa capacité à évoluer avec la demande de ses clients, sa résilience face aux difficultés inévitables quoi qu’anticipables, et sa capacité à progresser en réinvestissant les acquis pour les dépasser. Notre société d'avocats ne fait pas exception à ces règles de bon sens. Nous les avons strictement appliquées en 2017 et notre intention est bien de faire mieux encore en 2018.
En 2017, nous avons montré notre capacité d'évolution en proposant toujours davantage d'offres dédiées aux demandes de nos clients, que ce soit dans le domaine de l'énergie où nous avons été à l'initiative du regroupement d'acteurs clés pour réfléchir et structurer ensemble le modèle économique le plus approprié aux évolutions du secteur de la transition énergétique, ou que ce soit pour un accompagnement modulaire de nos clients pour leur mise en conformité avec les normes et règles nouvellement applicables. Nous pouvons aussi citer l'évolution de notre offre géographique par un travail approfondi en Afrique subsaharienne et au Moyen Orient.
2017, année de résilience, a été aussi l'occasion de maintenir et développer notre activité et nos expertises, démontrant la solidité de notre modèle, sa pérennité et sa pertinence. De Gaulle Fleurance & Associés est une marque reconnue sur le marché du droit. Elle est aujourd'hui le point de ralliement de personnes qui expriment pleinement leur talent de façon transverse et collaborative. Les promotions d'associés à l'issue de l'exercice 2017 le prouvent largement : 2 femmes et 2 hommes ayant démontré leur dynamisme dans des domaines aussi variés que le droit administratif, le financement, les fusions-acquisitions et les nouvelles technologies. Le recrutement latéral de nouveaux associés et avocats issus de directions juridiques d'entreprises ou d'autres cabinets d'avocats dans les domaines de l'audiovisuel, de la réglementation économique-concurrence et de la fiscalité, ainsi que leur rapide intégration, sont là encore des illustrations concrètes de la force de notre société.
Notre marque est aussi un gage de prise en charge effective des missions que nous confient nos clients, toujours plus fidèles et qui nous consultent pour leurs dossiers courants comme leurs affaire sensibles.
En 2017, nous avons enfin largement réinvesti nos acquis pour les dépasser. En témoignent les nombreuses initiatives prises dans les secteurs de la santé connectée, de l’intelligence artificielle, du transport, du financement d’actifs et corporate, dans la digitalisation de la finance et de l’assurance, de l’immobilier qui évolue vers toujours plus de services, de l’organisation des grands événements sportifs, de la fiscalité toujours plus exigeante… Sans oublier les enjeux extensifs de l’arbitrage international. Autant de projets transversaux que nos avocats conduisent et développent grâce à la maturité de notre capacité full service en termes d’expertises juridiques.
En 2018, nous poursuivrons et accélérerons cette stratégie consistant à affiner nos offres et approches des segments de marchés en combinant « by design » les expertises nécessaires à une anticipation des évolutions des besoins et donc des pratiques et règles juridiques.
Notre monde bouge, les besoins de nos clients évoluent ; notre société d’avocats est une plateforme conçue pour vivre ce mouvement perpétuel.
- Louis de GaullePrésident
- Henri-Nicolas FleuranceDirecteur général
Indicateurs
2017
MOYENNES ANNUELLES LISSÉES
- 39,37millions d’euros de chiffre d’affaires
- +2,08%de progression du chiffre d’affaires
- 42nombre d’associés en 2017 (5 en 2001)
- 149personnnes108 avocats dont 58 femmes et 50 hommeset 41 supports dont 10 hommes et 31 femmes
- 37,8moyenne d’âgeen 2017 (36,6 en 2001)
ÉVOLUTION DÉMOGRAPHIQUE DES AVOCATS
ET DES SUPPORTS
Anticiper les enjeux de marchés
les enjeux de marchés
L’autocertification, nouveau carrefour des droits

L’autocertification est l’une des tendances juridiques les plus marquantes de 2017. L’année a constitué une charnière, avec un renforcement réglementaire considérable porté par la Loi Sapin II et le Règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD). De très larges pans de l’activité des entreprises (gouvernance, ressources humaines, etc.) et de l’économie (santé, finance, transports, etc.) rejoignent ainsi les pratiques de conformité déjà établies notamment en droit de la concurrence. Dans une logique d’assurance qualité et de responsabilité, les entreprises doivent désormais être en capacité de démontrer qu’elles respectent trois notions fondamentales : transparence, anticorruption, et cybersécurité des données personnelles. Cette inversion de la charge de la preuve est une révolution copernicienne pour bon nombre de directions juridiques, tant en termes d’organisation interne que de rôle au sein de l’entreprise.
Éthique et compliance :
le passage à l’ère industrielle
D’après le baromètre annuel de l’AMRAE sur les risques opérationnels et contractuels des entreprises, la « conformité » dépasse aujourd’hui largement la gestion des risques classiques : concurrence, position dominante, entente, rupture des pourparlers, des relations commerciales établies, corruption et conflit d’intérêt... L’inflation réglementaire nationale et étrangère (pour les marchés d’exercice) fait porter des responsabilités pénales et financières de plus en plus larges sur les entreprises et sur leurs dirigeants, désormais tenus d’investir notamment le bonheur au travail, la protection de l’environnement ou plus récemment le devoir de vigilance sur l’intégralité de la supply chain.
Le rôle du digital y est croissant : il facilite certes la gestion des fournisseurs et l’obligation de vigilance, mais il suscite aussi de nouveaux critères de surveillance (données personnelles, cybersécurité…) et il aggrave potentiellement le risque médiatique.
Devoir de vigilance : tous concernés, surtout les directeurs juridiques
Les entreprises ne peuvent plus se contenter d’afficher des principes éthiques : elles doivent également veiller à leur bonne application. Le devoir de vigilance « envers les droits humains et libertés fondamentales, la santé et la sécurité des personnes ainsi que l’environnement » s’impose à environ 150 grands groupes français, mais aussi indirectement à leurs filiales, sous-traitants et fournisseurs, dès 2018. Les directions juridiques ont un rôle stratégique pour la mise en place de ces nouvelles dispositions : cartographie des risques, procédures d’évaluation régulière, actions adaptées d’atténuation des risques ou de prévention des atteintes graves, mécanismes d’alerte… Et au-delà, en vue de l’évaluation de l’intention : en cas d’action en justice, ce sont les directions juridiques qui pourront par exemple démontrer la précision et la pertinence des clauses des contrats conclus avec les sous-traitants et fournisseurs.
« L’effervescence réglementaire exige un accompagnement conjuguant protection des données, antitrust, fraude, corruption et réglementation financière. »
Le mot-clé : sensibilisation
Les DJ ont clairement un rôle de prévention – et de rappel – de ces obligations auprès des différentes business units et fonctions support. Elles vont devoir repenser leur organisation, leurs processus et développer des compétences internes, notamment via la création de postes de « Risk Managers » (autrefois surtout présents dans les très grandes entreprises). Le choix des partenaires externes sera également critique pour gérer l’organisation des programmes de mise en conformité ou encore le suivi de la formation des opérationnels. L’approche transversale des dossiers chez De Gaulle Fleurance & Associés est historiquement adaptée au traitement efficace des sujets d’antitrust, fraude et corruption, protection des données personnelles et réglementation financière ; au besoin, elle est coordonnée avec des partenaires d’affaires : SSII/ESN, auditeurs, consultants en organisation, etc.

Gestion de crise
Les crises sont par définition imprévisibles dans leur irruption et leur étendue. S’y préparer augmente pourtant considérablement les chances de « survie » de l’entreprise à un dégât sur site industriel, à un scandale de pots-de-vin, ou encore à une cyberattaque. La définition d’une organisation, de méthodes et d’outils permet d’éviter l’improvisation (par exemple, utiliser une messagerie web comme plateforme d’échanges n’est ni sécurisé, ni opposable comme main courante informatisée de la gestion de crise) et de reprendre plus rapidement l’activité, limitant également l’éventuel préjudices médiatique.
Les données dans la politique de conformité
2017 a été l’année de cyberattaques retentissantes : Saint-Gobain a estimé l’impact du malware NotPetya sur son résultat d’exploitation à 80 millions d’euros, et plusieurs fuites massives de données ont considérablement écorné la crédibilité d’acteurs pourtant experts de la data intelligence. Une étude BVA d’octobre 2017 montrait que seulement un Français sur quatre estime que la confidentialité de ses données personnelles est correctement assurée sur Internet. Or la confiance est au cœur du développement de l’économie et de chaquee entreprise.
Les impacts croissants des risques cyber
Avec le RGPD, et ses législations corolaires NIS et e-Privacy, l’objectif de l’Union européenne est de renforcer le contrôle des données par les citoyens et d’obliger les entreprises à structurer leurs dispositifs, en imposant des sanctions financières (jusqu’à 20 millions d’euros d’amende ou 4 % du CA mondial). Sans compter le préjudice d’image qui peut être considérable pour, par exemple, des opérateurs de services à la personne, des entreprises publiques, ou encore de santé. À l’heure où 80 % des cyberattaques profitent de comportements individuels défaillants (partage incontrôlé de fichiers via des plateformes privées, stockages sur des clouds non sécurisés, etc.), la maturité en matière de chaînes de responsabilité et de cybersécurité demeure très hétérogène selon les organisations. Elles doivent pourtant impérativement renforcer leur capacité de gouvernance et de management des données en termes d’automatisation, de monitoring, d’anonymisation ou encore de cryptage. Il ne s’agit plus de se demander « si » ce processus doit être enclenché, mais « comment » le mener avec le plus d’efficacité possible – y compris en anticipant le prochain Règlement européen sur la vie privée et les communications électroniques, qui concernera toutes les données de communications électroniques, contenu comme métadonnées, y compris non personnelles, stockées ou émises. À l’ère du big data, peu d’entreprises seront exemptées.

Les entreprises désormais seules responsables
Avec le RGPD, les individus voient leurs droits réaffirmés (consentement renforcé) et en acquièrent de nouveaux (portabilité, oubli, recours collectifs…) qu’il faudra mettre en œuvre. La protection de la vie privée devra intervenir dès la conception des systèmes et des pratiques (privacy by design et privacy by default) ; pour de nombreuses entreprises, un registre spécifique devra être tenu et un Délégué à la protection des données (DPO – Data Protection Officer), nommé. La France dispose depuis longtemps d’organismes (CNIL, ANSSI) prodigues en bonnes pratiques, et l’arsenal législatif hexagonal en matière de cybersécurité est particulièrement avancé.
Mais nombre d’entreprises, jusqu’alors peu concernées par les réglementations, n’ont pas effectué d’investissements prudentiels. Les trois quarts des entreprises françaises ne seront donc pas prêtes le 25 mai 2018. Si les plus grandes d’entre elles, qui étaient déjà en règle avec la loi Informatique et libertés, ont effectué les adaptations et développements nécessaires, 70 % des ETI reconnaissent ne pas avoir engagé de démarches de mise en conformité. Des négociations et des contentieux sont à prévoir, car les contrôles commenceront dès le 26 mai 2018 – les entreprises devront a minima être en conformité avec le régime juridique antérieur, et pouvoir justifier de réels efforts pour parvenir aux nouveaux standards… Le fait est qu’en France, le projet de Loi Informatique et Libertés III présenté le 13 décembre 2017 ne laisse pas beaucoup de temps aux entreprises pour s’y conformer.
« L’accompagnement par des avocats performants peut permettre d’anticiper les impacts sur vos activités, d’assurer la conformité juridique de vos projets et d’optimiser votre compétitivité. »
Identifier les risques…
Aujourd’hui, il est aussi essentiel d’être assuré contre les cyberattaques que contre le risque d’incendie. Les contrats d’assurance fraude et cyber couvrent les arnaques au président, le rançonnage via chiffrement de données (ransomware), les dénis de service distribué (DoS ou DDoS), les fuites de données (data breaches) ou encore les défaçages de site internet ; en général sur trois volets : dommages aux biens (risque de perte d’exploitation), responsabilité civile et gestion de crise. Il est essentiel de cartographier le périmètre et les garanties de la couverture en fonction de l’activité de l’entreprise, car les hacks n’ont pas du tout le même type d’impact entre un transporteur aérien, un site de e-commerce ou un opérateur de données de santé. Parmi les recommandations que nous avons mises en œuvre cette année dans des groupes français et internationaux, citons : l’investissement dans des structures performantes de gestion physique et informatique des accès ; la mise en place de stress-tests et de scénarios incluant des plans de communication de crise et de reprise de l’activité ; la souscription d’assurances dédiées ; la rédaction/révision des clauses de cybersécurité dans les contrats de sous-traitance et d’exploitation, etc.
Au tournant de l’année 2018, plusieurs dangers sont déjà identifiables. Des demandes d’accès individuelles (Subject Access Request) déclenchées en masse par des activistes pourraient déstabiliser des PME sous-équipées pour traiter de tels flux ; ou les infrastructures connectées des villes intelligentes « smart cities » pourraient être exposées à des cyberattaques en règle voire à la désorganisation via des apps de proximité ou équipements connectés (IoT) de santé, transport et autres forces de l’ordre.

Nous assistons un groupe international exploitant les centres commerciaux parmi les plus performants d’Europe. En coordination avec un grand cabinet de consultants en data et IT, après la phase d’audit des traitements, nous avons répondu aux besoins juridiques urgents (notamment Data protection officer et clauses sous-traitants), et poursuivons le process en conjuguant traçabilité du changement et homogénéité de la sensibilisation à tous les niveaux géographiques et organisationnels du groupe.
…et saisir les opportunités
Ces impacts incitent les organisations à envisager à très bref délai et à plus long terme une stratégie de conformité qui doit être vue non pas comme une contrainte, mais comme un vecteur de croissance. Notre objectif est de contribuer à ce que ce nouveau standard de privacy by design soit envisagé comme un outil stratégique (sécurisation des structures de production) et un futur centre de profit (bénéfice de crédibilité et fidélisation de la clientèle).

Digitalisation du droit ?
La digitalisation des biens et des services occasionne l’hybridation de notions fondatrices comme la propriété (de biens numériques), la responsabilité (de données dématérialisées), etc. — à l’égard desquelles les capacités d’analyse de l’Intelligence Augmentée ne sont pas inutiles.
C’est le paradoxe de notre matière : le droit, qui semble figé dans un corpus de textes immuables, sait aussi épouser les évolutions dont il pose les nouvelles bornes.
Réfutant la crainte de « braconniers du droit » profitant du décloisonnement de l’information pour déprécier l’expertise, nous travaillons en partenariat avec plusieurs legal techs pour exploiter les opportunités offertes par la technologie (notamment le data crunch qui éclairera bientôt non seulement le M&A mais également l’arbitrage international) sans renoncer à l’interprétation humaine du droit dans la compréhension initiale des enjeux, la présence de la plaidoirie et l’habileté de la négociation.
#FrenchTouchOfLaw
À l’assaut des business models ?

Chaque année un peu plus, l’actualité économique est marquée par des « nouveaux barbares », trublions de l’innovation – phénomène vertueux mais induisant des remous pour les opérateurs historiques comme pour ceux qui se lancent sur les marchés. C’est là qu’entrent en scène les structurations juridiques agiles et les conseils corporate créatifs, pour consolider les modèles d’affaires et soutenir les prises de risque – car l’intégration des mœurs et des populations étrangères est bien au fondement du progrès des civilisations…
Digitalisation ou évolution du modèle économique ?
La langue anglaise distingue la « digitization » technique (conversion de données classiques et données numériques) de la « digitalization » holistique (adoption ou utilisation croissante des technologies et logiques digitales dans une organisation). L’une ou l’autre sont-elles pour autant des garanties de succès ? Certains pure players, porte-étendards de la disruption, essuient des revers : « Yahoo » sonne aujourd’hui comme « ORTF ». D’autres poursuivent leur mue : Google se lance dans l’automobile, une jeune pousse de la domotique intègre un leader mondial de l’automatisation des ouvertures et des fermetures de la maison et du bâtiment... À l’heure où le numérique semble l’unique carburant de la croissance, l’étude « Histoire d’incompréhension : les dirigeants de PME et ETI face au digital » de Bpifrance Le Lab rappelle utilement que le projet de développement d’une entreprise ne peut se résumer à une simple digitalisation des outils et services, et qu’elle échouera tant que seulement un quart des dirigeants y associeront leurs équipes opérationnelles.
Car cette nouvelle manière de créer de la valeur réinterroge le business model sur trois dimensions : le client, l’organisation et les partenaires. Uber, avec ses algorithmes de détermination des parcours et des prix, a prouvé la pertinence de l’intégration de données sur l’utilisateur, ses goûts ou ses horaires, et quasiment tous les biens et services peuvent s’en inspirer pour démultiplier leurs angles de service et en améliorer l’efficacité – une ambition humaniste qui va pourtant parfois à l’encontre des intérêts d’entreprises qui se voient dessaisies de leur business intelligence au nom de l’open data. Et n’oublions pas la leçon d’humilité intrinsèque à la notion d’ubérisation, puisque son icône elle-même a vu la Cour de justice de l’Union européenne infirmer son astucieux positionnement de fournisseur de services informatiques pour le qualifier d’opérateur de taxi. Comme les usages, le droit évolue dans un monde toujours en mouvement. Le travail, la R & D et la consolidation juridique des deux assurent une agilité pérenne.
Le Corporate au cœur de la transformation
Nombre d’opérateurs industriels bouleversent fortement leurs structures, leurs métiers et leurs équipes. De Gaulle Fleurance & Associés se positionne en soutien aux porteurs de projets de transformation (stratégie et opérations), pour aider à ce que les projets de transformations complexes créent de la valeur. Le premier objet d’attention est bien sûr l’avenir des hommes. Dans le cadre de nos missions d’assistance aux entreprises en difficulté, nous ménageons la modernisation de l’outil industriel et l’autonomisation des salariés : investir dans une robotisation partielle peut garantir un recentrage de la compétence humaine, éviter une délocalisation voire permettre une relocalisation, tout en refondant les actifs et en pérennisant la rentabilité de l’entreprise.
Selon le baromètre annuel Cegos sur le climat social et la qualité de vie au travail, les impacts positifs et négatifs de la digitalisation se banalisent. La digitalisation industrielle à l’œuvre chez plusieurs de nos clients (fabrication additive, outils de traçabilité connectée, réalité augmentée, robotisation…) a impulsé des réorganisations – mobilisant les experts du droit du travail pour en ménager les effets (spécialisation/réduction des effectifs, recomposition des responsabilités, perspectives d’évolution/formation). Atout de l’industrie d’hier, le dialogue social et la gestion du capital humain restent bien deux des clés de la réussite de l’industrie du futur.
Deux stratégies de développement multimodal expérimentées ces dernières années
Nous avons accompagné deux leaders de la distribution spécialisée (l’un dans la bijouterie-horlogerie et l’autre dans l’ameublement-décoration) pour la transformation de leurs modes de structuration et d’exploitation : déjà acteurs dans le retail physique (y compris en gestion intégrée à l’étranger) et dans le e-commerce, ils se sont chacun ouverts aux places de marché (market places) partagées, et ont entamé leur développement à l’international, l’un en gestion franchisée et l’autre via des contrats de licence.
La croissance et la mutation nécessitent de garder la maîtrise de la structure, au fil des éventuelles ouvertures de capital, modifications de gouvernance, fusions et autres acquisitions. L’un des principaux accélérateurs de développement, le financement, a vu cette année sa palette de possibilités s’accroître fortement avec les premières levées de fonds en cryptomonnaies (ICO) et en financements participatifs. Leur développement a surpris nombre d’opérateurs bancaires, les poussant à intégrer très rapidement des capacités en financements directs, partenariats technologiques ou encore rachats.
Sur le marché du capital-investissement, nous accompagnons des opérations qui visent à financer non seulement le maintien et le rendement des activités, mais aussi – comme l’expliquait fin 2017 dans L’Usine nouvelle Olivier Millet, Président de l’Afic – le changement de taille moyenne des entreprises françaises non cotées. En basculant de la responsabilité fiduciaire à l’ambition sociétale et économique, faire « le bon tour de table auprès d’investisseurs engagés et durables » permet effectivement d’acquérir ou d’investir pour libérer l’ETI de ses frontières géographiques et industrielles.
Les banques françaises multiplient
les intégrations de start-up
- Mars Fiduceopar Boursorama
- SeptembreLeetchi par CréditMutuel Arkéa
- OctobreLe Pot Communpar BPCE
- MaiDepopasspar BPCE
- AoûtFidor Bankpar BPCE
- OctobreE-cotizpar BPCE
- AvrilPayPlug par BPCECompte-Nickel par BNP Paribas
- JuinKissKissBankBankpar La Banque PostaleDalenys par BPCE
Pas d’avenir
sans propriété
intellectuelle
Composante de la mutation saine des business models, la propriété intellectuelle a été un front des affaires particulièrement actif en 2017 :
-
- Un acteur traditionnel de l’#édition a signé sa première coopération avec un fonds de fonds sino-américain, dans la perspective d’un déploiement digital globalisé.
- La négociation sur le #Marché Unique Numérique et sur la nouvelle économie/chronologie des contenus médias a suscité un nombre important de démarches de relations publiques.
- Un groupe industriel français a commencé à explorer les potentialités du #serious game à visée thérapeutique.
-
- Les #musées et institutions culturelles ont poursuivi l’extension de leurs activités hors de leurs frontières nationales.
- Il a été reconnu que l’État français a la possibilité d’agir en justice pour défendre le terme « #France ».
- La lutte contre le piratage et la contrefaçon de #logiciel a continué à susciter de très nombreux recours contentieux.
Structurer
la transition

Parmi les sujets d’exploration entrepreneuriale et juridique actuels pour l'accompagnement de la transformation, la transition énergétique est l’un des plus passionnants. Indéniable enjeu pour l’environnement, il s’agit aussi d’un tournant majeur pour les entreprises et collectivités (smart grids, autoconsommation, infrastructures publiques-privées, financement participatif…), et d’un défi pour les juristes. La diversité et le volume des dossiers que nous avons traités en 2017 témoignent de la profonde mutation à l’œuvre dans ce secteur, mêlant M&A, gouvernance, financement, réglementation, contrats d’exploitation ou encore immobilier/urbanisme de demain, pour des réalisations qui restructurent non seulement les usages de consommation et les paysages, mais aussi les business models.
Dans d’autres secteurs
- Financement de l’#offre publique faite par une holding familiale sur les actions d’un grand groupe de luxe français
- Financement de #flotte et d’infrastructures ferroviaires en Allemagne
- Refinancement de la dernière tranche d’un #PPP pour un complexe immobilier ministériel dans le sud de Paris
- 37e émission#EMTN pour le régime français d’assurance chômage (44 milliards d’euros depuis 2009, dont le premier programme de Titres Négociables à Moyen Terme cotés)
- #Structuration et fiscalité de domaines viti-vinicoles de première importance
- Financement de programmes #immobiliers innovants, à Haute Qualité Environnementale et/ou intégrant plusieurs publics ou modèles de financement/d’exploitation (bureaux en co-working, résidences mixtes tourisme/hébergement étudiant, ensembles intégrant commerces, services médicalisés et logements...)
Selon une étude publiée par Les Echos en novembre 2017, « le marché de l’électricité n’est plus seulement qu’une affaire d’électricien » en raison de trois facteurs de disruption : autoconsommation/autoproduction, stockage, digital. En ligne avec les nombreuses mesures de maîtrise de la consommation d’énergie (programmes de rénovation énergétique, certificats d’économie d’énergie, etc.), la transition énergétique est à l’œuvre, avec un mix qui voit l’éviction progressive des énergies fossiles : près de 18% de l’électricité produite est désormais issue des énergies renouvelables, éolien et solaire/photovoltaïque en tête, contre 13% en 2008. Symbole de cette mutation ? Pour notre société d’avocats, la part des dossiers « énergies renouvelables » dépasse depuis 2015 très largement celle des ressources conventionnelles. Les opérateurs historiques réorientent lentement mais sûrement leurs investissements, en convertissant leurs installations et en intégrant de « jeunes pousses » spécialisées.
Encore plus marquant est le phénomène des nouveaux entrants qui captent aujourd’hui 13% du marché des particuliers et inventent des segmentations d’offres plus fines, notamment autour des circuits courts. Les dossiers traités cette année témoignent particulièrement de la recomposition de la chaîne de valeur de l’électricité. D’une part, la forte croissance du nombre de projets d’autoconsommation et d’autoproduction est soutenue par les progrès technologiques et un environnement règlementaire favorable. D’autre part, la commercialisation de capacités de stockage d’électricité commence à redistribuer les cartes de l’économie de réseau grâce à la volatilité décroissante des prix de gros et la gestion de plus en plus efficace de l’intermittence de l’éolien et du photovoltaïque. Enfin, l’innovation technologique et la digitalisation se révèlent une fois de plus les atouts maîtres de la trans-formation du secteur en permettant de nouvelles solutions (parcs offshore, compteurs communicants, IoT, régulation de la production autorisée par l’analyse du big data des consommations…) et de nouveaux besoins (financements mixtes, smartgrids et blockchains fluidifiant la production et l’achat d’énergie…). Autant de perspectives très nouvelles à structurer et à exploiter — pour lesquelles une excellente connaissance des sous-jacents et une bonne dose d’esprit entrepreneurial sont nécessaires pour être parmi les premiers à parvenir à rentabiliser la transition énergétique.
Miser sur la complémentarité
sur la complémentarité
Plateforme
Cabinet d’affaires, De Gaulle Fleurance & Associés se présente comme une organisation qui s’adapte aux marchés : un hub de conseil complet (matières et secteurs), scalable à l’international, au cœur d’un écosystème de partenaires performant.
CAPACITÉ Full service
Parce que la vie des affaires n’est pas rangée comme une encyclopédie juridique, les situations se trouvent souvent à l’articulation de plusieurs expertises. De Gaulle Fleurance & Associés couvre toutes les matières du droit des affaires, mais les approche de manière transversale : dégagée des matières juridiques et des frontières, cette méthode est un atout apprécié de nos clients désireux d’un accompagnement composite et expert. Pour présenter une réflexion libre, pragmatique et opérationnelle, nous nous sommes organisés en CapEx/OpEx comme les entreprises — avec un pôle qui rassemble les expertises pour la structuration des activités et un autre qui soutient leur exploitation. Nous leur proposons une typologie de missions d’ingénierie juridique autour de l’innovation, des opérations financières, de la gestion des ressources humaines... dans le but de formuler des solutions globales et pertinentes, précisément adaptées à vos problématiques – cela requiert une organisation interne souple dans ses matières et rigoureuse dans ses méthodes, nourrie par la maîtrise des dimensions opérationnelles et l’expérience de nos avocats qui sont sur le terrain au quotidien.
Mode projet et transversalité
Chaque dossier est un projet pour notre client pour lequel nous constituons une équipe spécifique et modulable — dont l'intelligence collective mobilise également l'historique des missions précedemment réalisées pour ce client. Animée par l’avocat en charge de la relation client, cette mini-plateforme de service est calibrée en fonction de la problématique juridique et sectorielle, du degré de technicité, d’urgence, ou encore d’exposition du sujet. Cette organisation agile permet d’articuler la réalisation fluide d’activités différentes et de séquences distinctes. Elle assure aussi la maîtrise du rapport coût / efficacité, l’une des clés de la satisfaction de nos clients.
« Technicité, approche transversale, contextualisation sectorielle, appréhension du risque : notre vision du droit des affaires se conçoit dans une organisation ouverte et horizontale. »
Approche en « laboratoires »
La maturité de notre offre full-service est une force pour approfondir les segments de marché sur lesquels se positionnent nos clients et accélérer la création de valeur. À l’affût des mouvements de marché et des questions juridiques de demain, nos avocats se rassemblent pour analyser et partager leur réflexion autour de groupes de veille sur des sujets sectoriels évolutifs : nous déterminons périodiquement des thèmes et positionnements par rapport aux tendances de l’économie pour soutenir la pertinence de nos recommandations dans les dossiers. Nous développons également des projets pilotes « Lex Do It » : internes ou partagés avec nos clients, ces démarches prospectives et collaboratives visent à concevoir des services cross-secteurs, cross-expertises ou à dimension géographique. La réinvention des business models dans le secteur des médias, en pleine convergence technologique, s’est par exemple traduite cette année dans des dossiers de : monétisation de la distribution des chaînes de la TNT et des services délinéarisés associés sur les bouquets numériques des fournisseurs d’accès internet et de téléphonie ; et de structuration financière et juridique innovante pour la production de séries et longs métrages, combinant aides européennes et françaises à la production de contenus, conditions d'exploitation standard et diffusion majoritaire en SVOD.
Dialogue
Ces sujets complexes et en évolution rapide exigent un engagement de la part des avocats qui dépasse la « simple » excellence juridique et fait appel à leur compréhension technique (notamment informatique des innovations) et économique des modèles en jeu. Ils s’enrichissent aussi du dialogue assidu avec les acteurs du secteur. Ainsi des expérimentations de la blockchain menées depuis 2015 dans une liste exponentielle de secteurs : banque et finance (ICO en crowdfunding), divertissement (musique et arts graphiques), santé (sécurisation des données patients), transports (coordination ouverte des flux), commerce de biens (contrefaçon) — outre notre contribution effective aux préfigurations réglementaires, nous accompagnons plusieurs clients dans leur réflexion et dans la mise en place de cette technologie, y compris quant à leurs interrogations sur la recevabilité/crédibilité suscitées par la disparition éventuelle des tiers de confiance.
« Nos avocats pistent les tendances qui vont transformer la méthode, la structure ou l’usage du secteur. Ils défrichent les besoins pour traduire les risques et opportunités en propositions de services. Leur connaissance du réseau, leur maîtrise des enjeux et leur passion du secteur est un facteur de gain d’efficacité. »
S’inscrire dans l’écosystème
Nous sommes heureux et fiers d’animer un écosystème de partenaires et d’interlocuteurs – autant de sources et de relais d’informations pour soutenir notre prospective juridique, produire des solutions efficaces et garder notre temps d’avance sur les évolutions de marché.
Nourrir et se nourrir du dialogue
Bien au-delà de la simple veille, nous testons les résultats de nos réflexions sur le terrain, dans les lieux où les changements se jouent en France comme à l’étranger : dialogue client, prémices législatifs, expériences industrielles, formations continues, coopérations interdisciplinaires avec des datamanagers, des économistes et financiers, des énergéticiens... La participation à des clubs de réflexion, la coproduction de livres blancs ou la coanimation de webinars ou autres conférences thématiques, dans nos locaux parisiens ou bruxellois ainsi que chez nos partenaires d’affaires, en sont l’incarnation régulière.
La proposition de services en écosystème
L'économie s’organise traditionnellement autour de maillons séquencés constituant une chaîne de valeurs : concevoir, produire, agréger, distribuer, vendre ou consommer, gérer des biens et services. Le numérique permet de rompre cette linéarité unifonctionnelle en organisant des interfaces d'intermédiation ouvertes, sur lesquelles demande et offre se rencontrent en permanence. La combinaison de réseaux (d'individus et/ou d'organisations) avec la technologie fournit un puissant accélérateur d’affaires : les projets peuvent s'appuyer sur un marché communautaire de confiance, sur lequel ils peuvent trouver toute la palette de prestations élastiques, sécurisées et économiques qu’ils requièrent. Cette extension de territoire d’affaires est assurée par la confiance partagée et les possibilités technologiques (ressources partagées, dialogues virtuels…) et réglementaires (propositions de services conjointes, partenariat d’affaires, co-création/co-propriété de brevets…). Nous travaillons à l’intégrer à de nouveaux segments de marché : financement de projets, objets connectés de santé, smart grids de fourniture d’énergie, etc.
« Nous sommes toujours prêts à engager le contact avec de nouveaux partenaires. N’hésitez pas, rencontrons-nous ! »
Empreinte géographique
Au-delà de notre pratique évidente en France, les affaires internationales requièrent la possibilité d’un traitement en direct (y compris en mobilisant des relais lorsque les juridictions l’imposent) de toutes les dimensions du droit.
QUOI ?
OÙ ?
POUR QUI ?
POUR QUI ?
Outre les entreprises françaises, nombreuses sont les organisations privées ou publiques, européennes, américaines, africaines, asiatiques ou du Moyen Orient, qui souhaitent développer des flux d’affaires vers comme hors de leur territoires, en optimisant les potentialités économiques, juridiques, administratives et culturelles des marchés visés. Notre clientèle, composée pour moitié d’entreprises étrangères, apprécie la mobilité de nos avocats, formés aux standards internationaux, inscrits dans plusieurs barreaux et qui pratiquent plus de 10 langues.
QUOI ?
Nos clients et partenaires peuvent compter sur la présence continue de nos collaborateurs en Afrique de l’Ouest comme au Moyen-Orient, et notre compréhension des moteurs du développement économique : infrastructures, énergie, transport, concessions et PPP, droit et marchés publics, télécommunications et nouvelles technologies, finance — y compris finance islamique, assurance, immobilier, urbanisme, et arbitrage. Nous entretenons également notre large réseau de correspondants étrangers dans plus de 30 pays, bâti sur la confiance et la convergence de valeurs au service de nos clients communs.
OÙ ?
Nos bureaux centraux sont établis à Paris. Notre filiale à Bruxelles jouit d’une proximité naturelle avec les institutions européennes. En 2017, nous avons choisi de consolider notre présence sur notre terrain d’action historique (Europe et Amérique du Nord) et d’accentuer notre engagement en Afrique et au Moyen-Orient, selon des cadres d’action adaptés à ces régions.
Au Moyen-Orient, dont les acteurs économiques globaux ne finissent pas de découvrir (ou redécouvrir, depuis les Accords de Vienne de 2015) la diversité, la préparation de « l’après pétrole » reconfigure les stratégies des investisseurs, notamment dans les infrastructures et le commerce, pour accompagner des projets de l’étude de marché, à la conception jusqu’à leur déploiement. En Afrique, notamment subsaharienne, nous accompagnons un certain nombre d’acteurs de la mutation juridique et économique africaine, en direct ou avec le soutien de cabinets d’avocats locaux avec lesquels nous avons conclu des Partenariats Organiques Ouverts (Côte d’Ivoire, Cameroun, Gabon, Niger, Sénégal et Togo). Nos avocats ont aussi accompagné la réglementation de l’activité pétrolière en Guyane, la refonte générale du code minier au Togo, ou encore des opérations relatives à des infrastructures gazières, et hydroélectriques en Afrique subsaharienne.
DOSSIERS
PARMI Les dossiers emblématiques de 2017 :
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- Les #contentieux contractuels relatifs au métro de Caracas
- L’#ouverture du Musée du Louvre Abu Dhabi
- Le « Broadmap project » de la Commission européenne (avenir des applications #haut débit et des solutions de communication radio interopérables)
- Les opérations de passporting liées au #Brexit
- Les dossiers de #régularisation des avoirs (STDR)
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- Un #arbitrage complexe entre acteurs publics et privés dans le secteur hôtelier d’un grand pays africain
- Le #développement économique de l’un des Territoires d’outre-mer français (coopération agricole avec les régions et Etats voisins, balance fiscale et cadre réglementaire des minimas sociaux, mise en place de liaisons routières et fluviales)
- Ou encore la recomposition des #portefeuilles d’affaires d’un grand groupe industriel français, notamment en Afrique.
Comité international
Les relations internationales avec nos correspondants étrangers et pour les rassemblements internationaux (IBA — International Bar Association, INTA — International Trademark Association, et autres) sont coordonnées par 7 de nos associés constitués en Comité international.
S’engager sur le long terme
sur le long terme
La relation client selon nous
La constance de notre développement depuis 2001 est le meilleur indicateur du soin que nous mettons à gagner la confiance, satisfaire et fidéliser nos clients. L’appréciation de la performance des avocats comme des fonctions supports comprend d’ailleurs un indicateur de satisfaction client.
« Merci de votre confiance et de votre fidélité. »

Des équipes à votre écoute
Associés, collaborateurs, juristes et personnels administratifs, riches de leurs différences et de leurs complémentarités, contribuent au quotidien à offrir des prestations qui visent l’excellence et les résultats tangibles, au cœur d’une relation de confiance. Avec constance et créativité, en s’appuyant sur la diversité de leurs formations initiales et de leurs expériences antérieures et actuelles, ils explorent le droit pour construire les solutions innovantes, gérer les zones de turbulence en faisant du temps un atout, et vous aider à prendre les décisions efficaces et opportunes. 42 associés et 66 collaborateurs mobilisent et conjuguent leurs formations initiales, leurs expériences antérieures et actuelles, et leurs compétences à votre service. Ils sont soutenus par 41 membres des services administratifs (Secrétaire général, Assistantes, Business development, Communication, Comptabilité, Documentation, Facturation, Informatique, Services généraux) qui assurent un dialogue complémentaire et essentiel à votre satisfaction : information, accessibilité… Nous cherchons également toujours à adapter à vos demandes notre politique tarifaire et nos modes de facturation.
Des occasions de partage
Nous organisons ou sponsorisons de nombreux évènements et rendez-vous permettant d’établir et d’entretenir le lien avec l’ensemble de nos clients et partenaires : petits-déjeuners et conférences, fils d’actualité sur les réseaux sociaux, etc. Dans le respect de la réglementation applicable aux données personnelles, l’utilisation de notre outil de gestion de données clients (CRM) permet de piloter ces actions, et la plateforme https://preferences.dgfla.com/ vous donne la possibilité de préciser vos sujets d’intérêts, pour recevoir des infor-mations et des propositions toujours plus utiles. Nos équipes, mais aussi nos clients et nos partenaires, convergent régulièrement vers le quartier-général de notre société, à Paris. Dans la continuité de notre croissance, et pour le confort de nos visiteurs comme des membres de notre société d’avocats, en 2018, nous y installerons notre LexLab : un nouvel espace favorisant les synergies et ouvrant de nouvelles perspectives pour recevoir,organiser, imaginer, tester et produire ensemble.
J’ai testé le contrat de collab’
... Et je suis resté
« L’esprit De Gaulle Fleurance & Associés : des valeurs à partager. »

Il serait difficile de tracer un portrait de notre avocat collaborateur-type, car c’est dans la diversité que De Gaulle Fleurance & Associés puise sa créativité. Nous sommes conscients que notre atout, la créativité juridique, repose sur une forme de fraîcheur qui n’est par définition pas éternelle, mais aussi sur un talent qui se nourrit de l’expérience. L’engagement et l’intégration sont donc des enjeux stratégiques et nous nous attachons à réunir les conditions d’une expérience professionnelle enrichissante et durable. En termes de recrutement comme de gestion de carrière, ce sont donc les différences qui font notre différence.
Chaque avocat est un intrapreneur
Indépendamment et bien avant l’émergence de la génération Y, les avocats sont structurellement en quête de modularité et de sens dans la pratique de leur métier. L’adhésion de chacun au projet de notre société d’avocats facilite sa mise en œuvre. Chaque avocat est considéré comme un intrapreneur dans l’entreprise cabinet, d’où la création cette année de « Lex Do It », notre appel à projets de développement ouvert à tous les grades d’avocats. Agile et précis, ce cadre d’action fait appel à la contribution créative de volontaires, assure la montée en compétence régulière et la prise de responsabilité visible de chacun, et génère un développement durable de l’activité. L’absence de cloisonnement et la recomposition régulière des équipes assurent la fréquentation d’Associés et de Seniors variés, ainsi que la pratique de secteurs et de clients différents. Au fil des grades, les avocats se voient proposer des occasions de développement individuel et collectif – dirigé par notre Secrétaire général et un avocat Of Counsel également Professeur des universités. Notre programme interne de formations juridiques est complété par une offre de coachings liés à la vie professionnelle : gestion de la relation client, management et travail en équipe, langues, communication, etc. Tous les membres de la société bénéficient d’entretiens annuels d’évaluation et d’échange afin de piloter leur valeur interne et leur employabilité.
Les richesses humaines au coeur de la structure
Parité hommes/femmes et ménagement des conditions d’équilibre entre vie personnelle et professionnelle font partie des objectifs de notre gestion des ressources humaines. Les propositions de convivialité et d’activités ne manquent pas, soutenues notamment par 7 événements internes annuels, un Comité Team Building et une équipe de Softball (Champions du Tournoi inter-cabinets 2017). Interrogé sur son parcours, l’un de nos avocats répond dans un sourire : « Je suis entré chez De Gaulle Fleurance & Associés comme stagiaire. Dix ans plus tard, j’y suis Associé. J’ai vu de jeunes avocats faire leurs classes chez nous, les poursuivre ailleurs, et revenir… Je peux témoigner du fait que le contrat de collaboration, au sens plein du terme, et la promesse d’évolution interne comme de formation large, y sont une réalité. »
Mécénat & engagements
simplement parce que c’est important
« Engagés au coeur d'un monde partagé »

Pour nous, la notion d’engagement dépasse le strict cadre de la production de service juridique. Nous nous impliquons dans notre communauté professionnelle, et dans un certain nombre d’actions convergentes visant à concrétiser le développement durable et la responsabilité sociétale des entreprises.
Maîtrise des impacts environnementaux
Recyclage et rationalisation de la consommation de consommables, articles de papeterie et papier ayant permis d’épargner 117 arbres en 2017. Depuis 2009, promotion des déplacements en train, disponibilité d’un garage à vélos. À partir de 2011, dématérialisation progressive de la facturation. Depuis 2015, remise d’une tasse isotherme réutilisable, reconnue par les machines à café, à chaque nouveau membre de la société.
Politique de promotion des compétences
Grille transparente de compétences/grades, entretiens annuels y compris pour les avocats, cycles de formations individuelles et collectives, dispositif de parrains-marraines et de référents pour tous les profils.
Investissement dans le débat doctrinal et public
Nos avocats, qui comptent plusieurs Professeurs et Docteurs, sont actifs dans de nombreux think-tanks et réseaux qui participent à la progression de la réflexion juridique en France et à l’étranger : événements et publications de l’IBA et de l’INTA, Agora des directeurs Juridiques, CEPS, Barcelona ABS Conference etc.
Ils contribuent également à la formation des étudiants d’écoles comme l’ESSEC et la HEAD, ainsi que plusieurs Universités (Paris I, II, V, VII, XII, Nancy, Saint-Etienne, Strasbourg, Lyon, Evry…). Nous avons créé en partenariat avec l’Institut des Assurances de Paris Sorbonne un prix annuel visant à récompenser un « Profil d’avenir du droit des assurances » à l’aube de son entrée dans le monde professionnel. Nous soutenons tout particulièrement l’École de droit de Sciences Po.
Nous participons financièrement et humainement aux courses « Virades de l’espoir » organisées par l’association Vaincre la Mucoviscidose pour récolter des fonds nécessaires au financement de la recherche médicale et à la prise en charge des patients.
Enfin, nous nous engageons en faveur de la diversité et notamment du combat contre le plafond de verre : 16 de nos 42 associés sont des femmes, plusieurs de nos avocates sont engagées dans des réseaux de tutorat, nous sommes sponsor officiel de la pilote automobile Inès Taittinger (seule compétitrice féminine aux « 24 Heures du Mans » en 2016) ; et le second volet de notre campagne de publicité en presse nationale en 2017 a eu pour égérie une jeune femme décidée, à travers laquelle nous souhaitions évoquer tant un membre de notre équipe qu’une cliente ou partenaire d’affaires.
Certification des comptes

Télécharger le document« … Opinion.
En exécution de la mission qui nous a été confiée par vos assemblées générales, nous avons effectué l’audit des comptes annuels de la société De Gaulle Fleurance & Associés relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2017, tels qu’ils sont joints au présent rapport.
Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle de résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice ».
LibéralisErnst & Young Audit